Violences des antifas : pourquoi tant d’indulgence ?

Eugénie Bastié - Les signatures d'Europe 1

Eugénie Bastié revient sur une information qui a malheureusement été trop peu médiatisée : l'arrestation, ce week-end à Paris, de 62 personnes cagoulées et armées de matraques télescopiques qui s'apprêtaient à s'en prendre à une dédicace d'auteurs jugés transphobes.

Cette agression fait malheureusement partie d'une série d'incidents visant à perturber les conférences des auteures Marguerite Stern et Dora Moutot, auteures de l'essai "Transmania" qui dénonce les dérives du mouvement transgenre. Il y a 15 jours, l'école de Marion Maréchal Le Pen avait notamment été victime d'un sabotage par des militants antifascistes.

Eugénie Bastié s'interroge sur la réaction politique face à ces actes de violence, soulignant que la condamnation est bien plus forte lorsqu'il s'agit de violences d'extrême-droite. Elle pointe du doigt le paradoxe selon lequel les militants qui se proclament "antifascistes" adoptent eux-mêmes des méthodes fascisantes pour faire taire l'opposition.

Au-delà du cas spécifique de Marguerite Stern et Dora Moutot, Eugénie Bastié évoque également les persécutions subies par d'autres personnalités comme J.K. Rowling, simplement pour avoir exprimé des opinions divergentes sur la question du genre.

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